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13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 19:03

Nous sommes bien arrivés à Madrid sur les ailes d'easyjet. Amusantes ces compagnies low cost... l'avion se met à se prendre pour un bus. Mais comme il s'agit d'un Airbus, tout va bien... Arrivés à l'aéroport, métro vers le centre de Madrid. Et là, je crois d'abord être tombé sur une manifestation : police bruit, beaucoup de monde... Mais en fait, c'est carnaval... Qui se double de la célébration du nouvel an chinois sur la place d'Espagne, près de laquelle se trouve notre résidence.
Nous avons un peu de mal à la trouver car les noms des rues sont indiqués de manière un peu aléatoire. Mais nous y arrivons tout de même.
Me voici donc dans la petite cellule monacale qui m'abritera pendant 4 jours... Assez spatieuse, et surtout, dotée du wifi... C'est bien, je reste en contact avec le reste du monde. Je twitte pour annoncer que je suis bien arrivé, je buzze pour doubler l'information... Et voilà que facebook m'interpelle... C'est Hadrien qui me demande ce que je fiche à Madrid... Je lui donne quelques succintes explications...
Un peu de repos ce soir, un peu de visite et un peu de révision des textes de travail demain, et lundi, au boulot...

Notre résidence, la résidence Arti, est en plein centre ville, près de la place d'Espagne. Mais j'ignorais que ce quartier central était si fortement peuplé de chinois. Partout des restaurants chinois, aussi, c'est sur l'un d'eux que nous avons jeté notre dévolu pour notre repas vespéral. Avertis des habitudes espagnoles quant aux heures réservées aux repas, nous avons craint que voulant manger à 8 heures du soir les restaurants ne fussent fermés. Que non pas, il y avait déjà beaucoup de convives dans celui que nous avons essayé. Repas succulent, même si j'aurai du mal à expliquer exactement ce que nous avons mangé, et fort peu dispendieux... Maintenant que la nuit est tombée, on ressent bien le froid. Les madrilènes semblent le craindre et les policiers, nombreux dans les rues, non seulement à cause du carnaval qu'ils surveillent, mais aussi parce qu'un commissariat est tout proche de la place, remontent le col de leur veste le plus haut possible... On ne voit plus que leurs yeux...

Nous rentrons tôt à la résidence pour travailler et lire avant de dormir dans le bruit incessant de la ville à nos pieds.

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